Pourquoi les hommes aiment-ils manger de la viande ?

Il est évident qu'à moins d'être un homme blanc d'un certain âge, la consommation de viande au Canada diminuera. Il s'agit peut-être d'une exagération, car de nombreux Canadiens ont encore besoin de manger de la viande régulièrement. En fait, beaucoup de gens pensent que manger de la viande est l'une des joies de la vie quotidienne, et que c'est aussi un élément essentiel d'un régime alimentaire équilibré. Certains pensent même que manger de la viande est un droit fondamental de l'individu.

Récemment, une étude de l'université Dale House a montré que plus de 82% des Canadiens décident de continuer à consommer de la viande, mais pour l'industrie de la viande, en particulier les producteurs de bœuf, cette étude peut aussi apporter des nouvelles inquiétantes, cette étude montre que 6,4 millions de Canadiens (l'équivalent de la population totale de Toronto) adoptent soit un régime sans viande, soit limitent leur consommation hebdomadaire de viande ; mais avec La diminution de la consommation de viande continue à se répandre dans la foule, et les problèmes correspondants peuvent devenir plus graves.

Bien que 63% des végétaliens aient moins de 38 ans, les personnes plus âgées d'aujourd'hui ont également rejoint les rangs de ceux qui ne mangent pas de viande, et plus de 42% de la population à moitié végétarienne sont des baby-boomers (Boomers , Américains nés pendant la période de fécondité la plus élevée après la Seconde Guerre mondiale).

men like to eat meat
les hommes aiment manger de la viande

Culpabilité liée à la consommation de viande

En d'autres termes, de nombreux baby-boomers aiment manger de la viande, mais ils luttent constamment contre de mauvaises habitudes alimentaires. Cela aura sans aucun doute un effet de rebond. Dans certains cas, cet effet peut être compensé par un repas copieux le lendemain. Les chercheurs ont souligné que ce récit végétal affaiblit manifestement la perception qu'a le consommateur moyen d'une alimentation saine. Il y a lieu de s'inquiéter, car jusqu'à présent, la plupart des Canadiens ont envisagé de réduire leur consommation de viande et 32,2% des personnes interrogées prévoient de le faire au cours des six prochains mois.

Les consommateurs agissent déjà maintenant, et la probabilité d'éviter la viande autant que possible ne disparaîtra pas de sitôt ; les préoccupations concernant l'environnement et le bien-être des animaux sont quelques facteurs qui poussent les consommateurs à se détourner progressivement de certains produits carnés ; mais la santé du corps Le problème semble être le moteur le plus important, et un régime qui favorise une consommation réduite de viande est de plus en plus considéré comme un choix sain. Bien que les médias aient fait état de l'impact négatif de la viande sur la santé humaine, il existe également quelques personnes convaincues que l'homme a évolué à partir de végétariens, et certaines preuves scientifiques contredisent ces points de vue. Historiquement, l'homme s'est fortement appuyé sur la viande. Les classes servent de sources d'énergie et de substrats importants, tels que les protéines et les acides gras à longue chaîne 3.

Le rapport de l'OMS modifie les perceptions

Un rapport de l'OMS de 2015 condamnant la consommation de viande transformée a affecté la perception générale de la viande dans de nombreux pays, dont le Canada. Ce rapport indique que la consommation de viandes hautement transformées (comme les hot-dogs, le bacon ou le jambon) présente un risque de cancer plus élevé que les personnes qui ne consomment pas régulièrement ces aliments ; trois ans plus tard, certains pays ont modifié leurs directives alimentaires pour encourager les consommateurs à manger davantage de légumes, de protéines, voire de poisson. Le Canada va bientôt rejoindre les rangs et introduire de nouvelles recommandations alimentaires.

Cependant, le simple fait d'exiger des consommateurs qu'ils mangent moins de viande risque non seulement de susciter une résistance à ce changement, mais aussi de créer une certaine confusion quant à la source et à la teneur en protéines du quinzième aliment ; certains consommateurs s'opposent désormais aux régimes à base de plantes qu'ils considèrent comme un mode de vie sain. En effet, la conversation sur les protéines dans la foule aujourd'hui est complètement polarisée.

Est-ce lié aux hommes ?

Il est intéressant de noter que l'analyse de la recherche de l'université de Dale House rapporte que cet effet de blocage de la consommation de viande semble être lié aux hommes, au traditionalisme et à la hiérarchie, qui sont tous similaires et maintiennent le pouvoir traditionnel dans la structure du monde occidental. Manger de la viande est souvent associé à la masculinité, et cet effet est similaire au symbole de la consommation de viande et à l'histoire de la société. Les chercheurs soulignent que les hommes sont plus susceptibles de considérer la consommation de viande comme une joie de vivre que les femmes.

En revanche, l'urbanisation, la volonté collective de vivre dans une société plus diversifiée, l'accès accru à l'éducation pour tous et la voix grandissante des femmes sont des produits uniques de la société moderne et représentent donc les forces motrices du changement dans la cuisine, qui affectent toutes notre régime alimentaire. À l'heure où les protéines se diversifient, la tâche risque d'être ardue pour l'industrie de la viande bovine. Par rapport à 2010, la quantité de bœuf consommée par les Canadiens a diminué de 16%, ce qui équivaut à 94 millions de kilogrammes.

Cependant, nous pouvons peut-être en tirer une leçon. Prenons l'exemple de la viande de bœuf. Elle doit être mélangée avec des légumineuses, du poisson ou d'autres aliments à base de protéines dans l'alimentation humaine. Cela peut s'avérer très important pour améliorer la santé de l'organisme.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *